poesia do metro

«Parfois, une émotion passe
Discrète comme un rideau qu'on écarte
Elle salue au passage le sang nomade
Et laisse à la bouche
Une infnie question»

Ernest Pépin, Salve et salive, Guadeloupe, 1986.

1 nomades:

Cata a dit…
25/1/07 16:39

Muito bonito!
Tenho saudades tuas! Dá notícias!
Bjs, Cata

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