On y go!!

Por motivos que ignoro, surto teen ou semelhanças com um certo japonês, rebentou de súbito a motivação para ir abanar o rabo com a Bobinha na festa da resi holandesa. depois do post infantil aqui fica esta declaração teen. e com sorte ninguém vai imaginar que já sou trintona....

wiki vs Firmo


Para quê ir à Wikipédia quando se pode tirar duvidas sobre o existencialismo em Firmo?


so vou postar isto porque é estupido...


Aramis - Gaja
Athos - Vanda
Porthos - Bob (protesto!)
Dartacão - Bernardinho


Ouvi aqui

ja passou um ano

desde que pensei isto. Há dois meses comprei umas botas alentejanas, rijas, baratas, e que para cada lado que vá me dizem:
"isso quer é sebo!"
Vale a pena escangalhar os pés e parecer um sempre-em-pé só pelo prazer que sinto em ouvir esta expressão.

bye


Escondo-me quando não estas a olhar, onde não estas a olhar.


Variações de uma pessoa louca, com aquela loucura do quotidiano.


Cheiras o ar à minha procura,


Mas fui; desapareci numa bruma cor-de-rosa choque, num dia qualquer


E tu vais continuar à espera, como se eu fosse o D. Sebastião.


Ai jesuzio!





extracto


"Be there a 1,000 times
Telling me all kinds of trues

and stories, inspirations and lies (...)"

Rocha e fonte

Níobe transformada em fonte
(adaptado de Ovídio)

«Os cabelos embora o vento passe
Já não se agitam leves. O seu sangue,
Gelando, já não tinge a sua face.
Os olhos param sob a fonte aflita.
Já nada nela vive nem se agita,
Os seus pés já não podem formar passos,
Lentamente as entranhas endurecem
E até os gestos gelam nos seus braços.

Mas os olhos de pedra não esquecem.
Subindo do seu corpo arrefecido,
Lágrimas lentas rolam pela face,
Lentas rolam, embora o tempo passe»

Sophia de Mello Breyner Andersen

Pranto

«Lo pianto stesso li pianger non lascia,
E’l duol che truova in sugli occhi rintoppo,
Si volge in entro a far crescer l’ambascia».

[O pranto, o próprio pranto não consente/ e a dor então nos olhos onde embate/ para dentro regressa em dor crescente]

Dante, Divina Comédia (Inferno 33)

Noutro dia

vim experienciar as"alegrias" capitalistas com um café no Starbucks. Provavelmente dos únicos cafés de jeito de Paris (a maioria custa 2,50 e sabe a sonasol), apesar de americano, globalização, bla, bla, bla. é caro porra. Não trouxe um livro e agora faço tempo até às 14h30. 45min to go. Um pombo olha para mim do outro lado da janela com vidros duplos como se eu fosse doida. A vista do 1°andar do Starbucks não é ma. Vejo a agitação parisiense de que tanto gosto, o céu azul, ao mesmo tempo que evito convivios forçados do tipo pastel de bacalhar da sala de conf's. Esta um dia bom para andar de bicicleta. Estou a testar as pessoas. A ver quando é que me expulsam, porque estou a ocupar um sofa sem ter nenhum café à frente, nem cheio nem vazio. Mas o jazz esta bom e não tenho frio; quase todas as necessidades basicas preenchidas. Também podia ouvir a minha musica mas o jazz esta bom. é raro o jazz estar assim tão bom num café-cadeia-americana. [Sera que esta quase na hora? Ainda ninguém me expulsou.]

Entender II

«Mais je veux seulement une dernière fois essayer de comprendre, de commencer à comprendre, comment de tels êtres sont possibles».

Samuel Beckett, Molloy.

Males de um mundo absurdo e esquecido

O passado 7 de Outubro deixou marcas em Bangkok: 400 feridos e 2 mortos. Confrontos entre manifestantes e polícia, instituição de um estado de sítio e outros absurdos que confirmam que o mundo não aprende nada com o passado.
Crise é ninguém dar conta deste tipo de notícias. Enquanto todos se mantiverem ocupados a seguir as tolices e a papar os grupes da crise económica, a velha crise da ignorância e indiferença permanece. Os umbigos vão aumentando nas suas crises de individualismo e futilidade, enquanto os males do mundo passam ao lado e são esquecidos.

«Thaïlande. La nation a perdu son âme»

«Depuis que le pays a frôlé la catastrophe, le 2 septembre [quand l'état d'urgence a été décrété par le précédent gouvernement], nous sommes sur une pente glissante. Et, compte tenu de l'évolution de la situation, les choses pourraient tourner bien plus mal que lors des crises politiques du 14 octobre 1973, du 6 octobre 1976 ou du mois de mai 1992. Les leçons du passé nous ont peut-être retenus jusqu'au matin du 7 octobre [les affrontements entre les manifestants antigouvernementaux et les forces de l'ordre ont fait alors 2 morts et plus de 400 blessés], mais, maintenant que nous sommes lancés, ces dates ont perdu tout leur sens.
C'est une bien triste évolution que celle de la politique sanglante de notre pays. Nous avons dénoncé les chars d'assaut et la dictature en 1973, une politique d'extrême droite en 1976 et l'armée, à nouveau, en 1992. Quand l'escalade de la violence conduit les Thaïlandais à se tuer entre eux, comme c'est le cas en ce moment, il est beaucoup plus difficile de désigner les coupables. Ce nouveau bain de sang signifie simplement que le royaume n'a pas réussi à devenir un "bon pays". Et les trois carnages précédents ne font qu'amplifier notre honte. La politique a un sens jusqu'à un certain point au-delà duquel l'absurdité prend le dessus. Les "héros" d'octobre combattent désormais dans le camp opposé. Chamlong Srimuang, l'un des leaders de l'opposition, qui, dans le passé, a été amené à nier toute implication dans le complot contre le mouvement étudiant de 1976, est aujourd'hui derrière les barreaux pour avoir combattu la "dictature". L'ancien Premier ministre Samak Sundaravej [contraint à la démission le 9 septembre dernier], un autre "méchant" d'octobre, a réussi à se racheter aux yeux du monde en se présentant comme un dirigeant démocrate persécuté. Et il est possible que quelques années d'agitation aient suffi à gommer le fait que le principal dirigeant de l'opposition soit un jour passé à la télévision pour défendre vigoureusement la politique fiscale du gouvernement Thaksin vis-à-vis du secteur des télécommunications [avant d'entrer en politique, l'ancien Premier ministre, aujourd'hui en exil en Grande-Bretagne, avait bâti son empire dans ce domaine].

La politique est porteuse d'idéologies que nous n'hésitons pas à fouler aux pieds lorsque l'occasion s'en présente. Le 7 octobre, la Thaïlande a perdu beaucoup plus que deux vies et la jambe d'un homme. Le bilan des victimes confirme la disparition des principes qui ont conduit les deux camps sur la voie de l'affrontement. Le respect de l'égalité, de la société civile et de toutes les autres valeurs estimables de la démocratie s'est volatilisé. Avec les "éléphants" qui s'affrontent, le "peuple" n'a pas le loisir de réfléchir. Il ne peut que suivre des ordres qui bénéficient à tout le monde sauf à lui. Le 7 octobre, la police a dû se conformer aux instructions, tandis que les protestataires devaient défiler et s'emparer du Parlement. Que les manifestants aient été provocateurs et les policiers violents ne change rien à l'affaire. Nous sommes en guerre, et c'est donc "nous" qui avons raison et "eux" tort.Qui sont-ils ? Il y a Thaksin, Chamlong, Samak, Chavalit Yongchaiyudh [vice-Premier ministre qui vient de présenter sa démission] et Sondhi Limthongkul [l'un des chefs de l'opposition]. Quand ils étaient dans le même camp, la vie semblait facile. Maintenant qu'ils sont divisés et que beaucoup de gens sont prêts à mourir pour leur cause, le pays est au bord de la guerre civile. Dans les deux camps, on proclame que le peuple se sacrifie pour l'intérêt général de la nation. Les policiers "assurent le maintien de l'ordre public". Et les protestataires "défendent le pays contre les escrocs de la politique".

Dans toute guerre, chacun est contraint de faire le mal, prétendument pour défendre le bien. Avons-nous le droit de dire : "Oui, je veux défendre le bien, mais je ne suis pas prêt pour autant à faire le mal" ? Oui, nous l'avons, mais ce droit n'est que le dernier écho de notre conscience, le chant du cygne des valeurs avant qu'elles ne disparaissent. Thaksin va-t-il tenter un retour en force dans cinq ans ? Chamlong sera-t-il encore là dans dix ans pour conduire une autre insurrection populaire ? Sondhi va-t-il réellement devenir moine une fois cette guerre terminée ? Nul ne peut répondre avec certitude à ces questions, mais la possibilité de les voir revenir sur la scène politique et prendre la tête d'un nouveau mouvement est peut-être plus grande que celle de voir les Thaïlandais recouvrer leur âme perdue.

La blessure ne cicatrisera pas de sitôt. Un jour ou l'autre, l'agitation et le bain de sang cesseront et, dans quelques mois, nous aurons peut-être une nouvelle Constitution, une "réforme" proclamée haut et fort. A vrai dire, nous avons déjà connu cette situation et eu une très bonne chance d'éviter un nouvel "octobre noir" ou un nouveau "mai noir". Nous n'avons tiré aucune leçon du passé, si ce n'est qu'il est facile, en temps de paix, de croire à tort que la guerre est lointaine. Les semblants de leçon s'arrêtent là. Nous n'avons pas besoin d'apprendre davantage. Surtout en ce moment, où tout le monde est persuadé d'avoir raison.»

citado do Courrier International

Enfim uma boa notícia

«Pilule: bientôt fini de supplier le pharmacien pour avoir du rab’?»

A ministra da saúde francesa propõe a venda de pílulas sem receita. E para quando a venda e o reembolso de contraceptivos de nova geração: anéis, adesivos e pílulas com baixo índice hormonal, etc. Já estava na hora de acabar com o conservadorismo capitalista que nos faz suplicar por um simples contraceptivo q é vendido sempre a preços abusivos sem reembolso. Mas depois ninguém nos faz perguntas se pedimos a pílula do dia seguinte. Enfim uma boa notícia!!

«La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a affirmé qu'elle n'était pas hostile à permettre aux pharmaciens de renouveler une fois la pilule contraceptive sans ordonnance.

La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a affirmé "n'être pas hostile à donner aux pharmaciens la possibilité de renouveler, pour une fois, la pilule contraceptive", samedi, au 61ème Congrès national des pharmaciens de France à Deauville.

Selon le texte écrit du discours, la ministre a affirmé être "ouverte aux propositions des pharmaciens", dans le cadre du projet de loi Hôpital, patients, santé, territoires, examiné mercredi par le Conseil des ministres.

"Les compétences et les atouts des pharmaciens sont actuellement sous-exploités", "il est regrettable de voir certains pharmaciens jouer un rôle de simple commerçant", a-t-elle reconnu.

"Les pharmaciens doivent faire évoluer leur métier en offrant de nouveaux services, en s'impliquant davantage dans la prévention, le parcours de soins ou encore l'accompagnement thérapeutique", a affirmé la ministre.

Elle a, dans ce cadre, affirmé "n'être pas hostile à donner aux pharmaciens la possibilité de renouveler, pour une fois, la pilule contraceptive".

Le projet de loi santé et territoires "pourrait être l'occasion, lors du débat parlementaire, de valoriser l'idée de premier recours au pharmacien, ainsi que le partage des compétences", a affirmé la ministre.»


artigo citado do libé

Tabucchi


"Pendant dix ans et plus, j'ai dénoncé dans la presse l'infection italienne : la corruption, le conflit d'intérêts, l'agression menée par le politique contre la justice, l'arrivée triomphale de la laideur, le bas—culement de la démocratie. Mais je ne voudrais pas, à mon âge, devenir un médecin spécialiste : à force de s'occuper d'une " Botte ", on risque d'oublier le corps auquel la jambe appartient. Le monde est vaste, et devant les grands problèmes du monde, devant la grande laideur et la grande beauté du monde, ceux de l'Italie sont des petits problèmes, de la petite —laideur et de la petite beauté."*

Antonio Tabucchi (citation dans un article du Le Monde)


*je pourrais également ajouter : "ceux du Portugal sont des petits problèmes..."

uma grande verdade


"mil vezes arrancar sisos do q ter migranas"



vinda de uma troca de e-mails emigra ;)

DMB Crush

Hoje esta musica faz-me lembrar outras coisas.





é incrível como se reciclam musicas e caracteres.

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