Robinha dos Bosques em acção

PARABENS !!!

write myself a letter

I'm gonna sit right down and write myself a letter
And make believe it came from you

I'm gonna write words oh so sweet

They're gonna knock me off my feet
A lot of kisses on the bottom
I'll be glad I got 'em




I'm gonna smile and say I hope you're
feeling better
And signe with love the way you do
I'm gonna sit right down and write myself a letter
And make believe it came from you

"Notre famille a perdu la guerre"

Vale a pena ler este texto até ao fim, é de um beleza triste incrivel... Emocionou-me até ao osso. Mesmo depois da morte de um filho nesta estupida guerra do Libano, Grossman e a sua familia se interrogam: Mais nous vivrons n'est-ce pas ? E se consolam: Nous vivrons et nous nous promènerons comme avant.


Mon cher Uri,


Voilà trois jours que presque chacune de nos pensées commence par une négation. Il ne viendra plus, nous ne parlerons plus, nous ne rirons plus. Il ne sera plus là, ce garçon au regard ironique et à l'extraordinaire sens de l'humour. Il ne sera plus là, le jeune homme à la sagesse bien plus profonde qu'elle ne l'est à cet âge, au sourire chaleureux, à l'appétit plein de santé. Elle ne sera plus, cette rare combinaison de détermination et de délicatesse. Absents désormais, son bon sens et son bon coeur.

Nous n'aurons plus l'infinie tendresse d'Uri, et la tranquillité avec laquelle il apaisait toutes les tempêtes. Nous ne regarderons plus ensemble les Simpson ou Seinfeld, nous n'écouterons plus avec toi Johnny Cash et nous ne sentirons plus ton étreinte forte. Nous ne te verrons plus marcher et parler avec ton frère aîné Yonatan en gesticulant avec fougue, et nous ne te verrons plus embrasser ta petite soeur Ruti que tu aimais tant.

Uri, mon amour, pendant toute ta brève existence, nous avons tous appris de toi. De ta force et de ta détermination à suivre ta voie, même sans possibilité de réussite. Nous avons suivi, stupéfaits, ta lutte pour être admis à la formation des chefs de char. Tu n'as pas cédé à l'avis de tes supérieurs, car tu savais pouvoir faire un bon chef et tu n'étais pas disposé à donner moins que ce dont tu étais capable. Et quand tu y es arrivé, j'ai pensé : voilà un garçon qui connaît de manière si simple et si lucide ses possibilités. Sans prétention, sans arrogance. Qui ne se laisse pas influencer par ce que les autres disent de lui. Qui trouve la force en lui-même.

Depuis ton enfance, tu étais déjà comme ça. Tu vivais en harmonie avec toi-même et avec ceux qui t'entouraient. Tu savais quelle était ta place, tu étais conscient d'être aimé, tu connaissais tes limites et tes vertus. Et en vérité, après avoir fait plier toute l'armée et avoir été nommé chef de char, il est apparu clairement quel type de chef et d'homme tu étais. Et aujourd'hui, nous écoutons tes amis et tes soldats parler du chef et de l'ami, celui qui se levait le premier pour tout organiser et qui n'allait se coucher que quand les autres dormaient déjà.

Et hier, à minuit, j'ai contemplé la maison, qui était plutôt en désordre après que des centaines de personnes étaient venues nous rendre visite pour nous consoler, et j'ai dit : il faudrait qu'Uri soit là pour nous aider à ranger.

Tu étais le gauchiste de ton bataillon, mais tu étais respecté, parce que tu restais sur tes positions sans renoncer à aucun de tes devoirs militaires. Je me souviens que tu m'avais expliqué ta "politique des barrages militaires", parce que toi aussi, tu y avais passé pas mal de temps, sur ces barrages. Tu disais que s'il y avait un enfant dans la voiture que tu venais d'arrêter, tu cherchais avant tout à le tranquilliser et à le faire rire. Et tu te rappelais ce garçonnet plus ou moins de l'âge de Ruti, et la peur que tu lui faisais, et combien il te détestait, avec raison. Pourtant tu faisais ton possible pour lui rendre plus facile ce moment terrible, tout en accomplissant ton devoir, sans compromis.

Quand tu es parti pour le Liban, ta mère a dit que la chose qu'elle redoutait le plus c'était ton "syndrome d'Elifelet". Nous avions très peur que, comme l'Elifelet de la chanson, tu te précipites au milieu de la mitraille pour sauver un blessé, que tu sois le premier à te porter volontaire pour le réapprovisionnement-des-munitions-épuisées-depuis-longtemps. Et que là-haut, au Liban, dans cette guerre si dure, tu ne te comportes comme tu l'avais fait toute ta vie, à la maison, à l'école et au service militaire, proposant de renoncer à une permission parce qu'un autre soldat en avait plus besoin que toi, ou parce que tel autre avait chez lui une situation plus difficile.

Tu étais pour moi un fils et un ami. Et c'était la même chose pour ta maman. Notre âme est liée à la tienne. Tu vivais en paix avec toi-même, tu étais de ces personnes auprès de qui il fait bon être. Je ne suis même pas capable de dire à haute voix à quel point tu étais pour moi "quelqu'un avec qui courir" (titre d'un des derniers romans de ).

Chaque fois que tu rentrais en permission, tu disais : viens, papa, qu'on parle. Habituellement, nous allions nous asseoir et discuter dans un restaurant. Tu me racontais tellement de choses, Uri, et j'étais fier d'avoir l'honneur d'être ton confident, que quelqu'un comme toi m'ait choisi.

Je me souviens de ton incertitude, une fois, à l'idée de punir un soldat qui avait enfreint la discipline. Combien tu as souffert parce que cette décision allait mettre en rage ceux qui étaient sous tes ordres et les autres chefs, bien plus indulgents que toi devant certaines infractions. Punir ce soldat t'a effectivement coûté beaucoup du point de vue des rapports humains, mais cet épisode précis s'est ensuite transformé en l'une des histoires cardinales de l'ensemble du bataillon, établissant certaines normes de comportement et de respect des règles. Et lors de ta dernière permission, tu m'as raconté, avec une fierté timide, que le commandant du bataillon, pendant une conversation avec quelques officiers nouvellement arrivés, avait cité ta décision en exemple de comportement juste de la part d'un chef.

Tu as illuminé notre vie, Uri. Ta mère et moi, nous t'avons élevé avec amour. C'était si facile de t'aimer de tout notre coeur, et je sais que toi aussi tu étais bien. Que ta courte vie a été belle. J'espère avoir été un père digne d'un fils tel que toi. Mais je sais qu'être le fils de Michal l'épouse de veut dire grandir avec une générosité, une grâce et un amour infini, et tu as reçu tout cela. Tu l'as reçu en abondance et tu as su l'apprécier, tu as su remercier, et rien de ce que tu as reçu n'était un dû à tes yeux.

En ces moments, je ne dirai rien de la guerre dans laquelle tu as été tué. Nous, notre famille, nous l'avons déjà perdue. Israël, à présent, va faire son examen de conscience, et nous nous renfermerons dans notre douleur, entourés de nos bons amis, abrités par l'amour immense de tant de gens que pour la plupart nous ne connaissons pas, et que je remercie pour leur soutien illimité.

e voudrais tant que nous sachions nous donner les uns aux autres cet amour et cette solidarité à d'autres moments aussi. Telle est peut-être notre ressource nationale la plus particulière. C'est là notre grande richesse naturelle. Je voudrais tant que nous puissions nous montrer plus sensibles les uns envers les autres. Que nous puissions nous délivrer de la violence et de l'inimitié qui se sont infiltrées si profondément dans tous les aspects de nos vies. Que nous sachions nous raviser et nous sauver maintenant, juste au dernier moment, car des temps très durs nous attendent.
Je voudrais dire encore quelques mots. Uri était un garçon très israélien. Son nom même est très israélien et hébreu. Uri était un condensé de l'israélianité telle que j'aimerais la voir. Celle qui est désormais presque oubliée. Qui est souvent considérée comme une sorte de curiosité.

Parfois, en le regardant, je pensais que c'était un jeune homme un peu anachronique. Lui, Yonatan et Ruti. Des enfants des années 1950. Uri, avec son honnêteté totale et sa façon d'assumer la responsabilité de tout ce qui se passait autour de lui. Uri, toujours "en première ligne", sur qui on pouvait compter. Uri avec sa profonde sensibilité envers toutes les souffrances, tous les torts. Et capable de compassion. Ce mot me faisait penser à lui chaque fois qu'il me venait à l'esprit.

C'était un garçon qui avait des valeurs, terme tant galvaudé et tourné en dérision ces dernières années. Car dans notre monde dément, cruel et cynique, il n'est pas "cool" d'avoir des valeurs. Ou d'être humaniste. Ou sensible à la détresse d'autrui, même si autrui est ton ennemi sur le champ de bataille.

Mais j'ai appris d'Uri que l'on peut et l'on doit être tout cela à la fois. Que nous devons certes nous défendre. Mais ceci dans les deux sens : défendre nos vies, mais aussi s'obstiner à protéger notre âme, s'obstiner à la préserver de la tentation de la force et des pensées simplistes, de la défiguration du cynisme, de la contamination du coeur et du mépris de l'individu qui sont la vraie, grande malédiction de ceux qui vivent dans une zone de tragédie comme la nôtre.

Uri avait simplement le courage d'être lui-même, toujours, quelle que soit la situation, de trouver sa voix précise en tout ce qu'il disait et faisait, et c'est ce qui le protégeait de la contamination, de la défiguration et de la dégradation de l'âme.

Uri était aussi un garçon amusant, d'une drôlerie et d'une sagacité incroyables, et il est impossible de parler de lui sans raconter certaines de ses "trouvailles". Par exemple, quand il avait 13 ans, je lui dis : imagine que toi et tes enfants puissiez un jour aller dans l'espace comme aujourd'hui nous allons en Europe. Il me répondit en souriant : "L'espace ne m'attire pas tellement, on trouve tout sur la Terre."

Une autre fois, en voiture, Michal et moi parlions d'un nouveau livre qui avait suscité un grand intérêt et nous citions des écrivains et des critiques. Uri, qui devait avoir neuf ans, nous interpella de la banquette arrière : "Eh les élitistes, je vous prie de noter que vous avez derrière vous un simplet qui ne comprend rien à ce que vous dites !"

Ou par exemple, Uri qui aimait beaucoup les figues, tenant une figue sèche à la main : "Dis papa, les figues sèches c'est celles qui ont commis un péché dans leur vie antérieure ?"

Ou encore, une fois que j'hésitais à accepter une invitation au Japon : "Comment pourrais-tu refuser ? Tu sais ce que ça veut dire d'habiter le seul pays où il n'y a pas de touristes japonais ?"

Chers amis, dans la nuit de samedi à dimanche à trois heures moins vingt, on a sonné à notre porte et dans l'interphone et un officier s'est annoncé. Je suis allé ouvrir et j'ai pensé ça y est : la vie est finie.

Mais cinq heures après, quand Michal et moi sommes rentrés dans la chambre de Ruti et l'avons réveillée pour lui donner la terrible nouvelle, Ruti, après les premières larmes, a dit : "Mais nous vivrons n'est-ce pas ? Nous vivrons et nous nous promènerons comme avant. Je veux continuer à chanter dans la chorale, à rire comme toujours, à apprendre à jouer de la guitare." Nous l'avons étreinte et nous lui avons dit que nous allions vivre et Ruti a dit aussi : "Quel trio extraordinaire nous étions Yonatan, Uri et moi."

Et c'est vrai que vous êtes extraordinaires. Yonatan, toi et Uri vous n'étiez pas seulement frères, mais amis de coeur et d'âme. Vous aviez un monde à vous, un langage à vous et un humour à vous. Ruti, Uri t'aimait de toute son âme. Avec quelle tendresse il s'adressait à toi. Je me rappelle son dernier coup de téléphone, après avoir exprimé son bonheur qu'un cessez-le-feu ait été proclamé par l'ONU, il a insisté pour te parler. Et tu as pleuré, après. Comme si tu savais déjà.

Notre vie n'est pas finie. Nous avons seulement subi un coup très dur. Nous trouverons la force pour le supporter, en nous-mêmes, dans le fait d'être ensemble, moi, Michal et nos enfants et aussi le grand-père et les grands-mères qui aimaient Uri de tout leur coeur - ils l'appelaient Neshumeh (ma petite âme) - et les oncles, tantes et cousins, et ses nombreux amis de l'école et de l'armée qui nous suivent avec appréhension et affection.

Et nous trouverons la force aussi dans Uri. Il possédait des forces qui nous suffiront pour de nombreuses années. La lumière qu'il projetait - de vie, de vigueur, d'innocence et d'amour - était si intense qu'elle continuera à nous éclairer même après que l'astre qui la produisait s'est éteint. Notre amour, nous avons eu le grand privilège d'être avec toi, merci pour chaque moment où tu as été avec nous.

Papa, maman, Yonatan et Ruti.

© David Grossman

in Le Monde


Indiano com dois pénis

Não costumo ler o DN, mas hoje apeteceu-me ler um jornal de esquerda português... e encontrei esta noticia. Sintomatico?


Indiano com dois pénis quer ser operado

A natureza dotou-o com dois pénis perfeitamente funcionais. Mas este cidadão indiano, de Nova Deli, com 24 anos, quer cortar um, alegando que o seu segundo sexo o impede de ter uma vida normal. E é sua intenção casar-se.

Por isso, deu entrada no hospital daquela cidade para se submeter a uma intervenção cirúrgica, informou ontem a imprensa local, citada pela France-Presse, sem especificar nem a identidade do indivíduo nem a identificação do estabelecimento de saúde.

Trata-se de uma pessoa que sofre de duplicação peniana , ou diphallus - um problema de saúde que consta do catálogo das doenças raras. Regista-se apenas um caso entre 5,5 milhões de homens.

Aquele cidadão indiano apresenta uma situação ainda mais rara, já que os dois pénis estão perfeitamente funcionais, quando, normalmente, apenas um se apresenta apto para cumprir as respectivas funções fisiológicas. "Trata-se de uma condição extremamente rara. A forma mais comum de diphallus é um dos órgãos estar inactivo", explicou o próprio, tendo ainda adiantando que se trata de uma intervenção cirúrgica bastante complexa.

O primeiro caso de duplicação peniana foi documentado em 1609. Geralmente, esta doença é acompanhada de várias complicações congénitas, nomeadamente outras duplicações que podem ser ao nível renal, vertebral ou até anorrectal. São também frequentes os sintomas decorrentes da espinha bífida.

Dificilmente um bebé que nasça com diphallus resiste às infecções que entretanto atacam o organismo. As complicações renais, nestes casos, são, por regra, fatais. Como tal, é muito raro encontrar um adulto com estas características anatómicas.

Esta rara doença não é exclusiva dos humanos. Está igualmente documentada noutros mamíferos, nomeadamente em porcos. Nos seres humanos, já é possível a sua detecção ao 25.º dia de gestação.
No DN

Günter GraSS & Saramago


Dessin de Hachfeld
Dans une interview publiée par le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, l’écrivain allemand Günter Grass, prix Nobel de littérature 1999, a révélé avoir servi dans les Waffen SS pendant les derniers mois de la Seconde Guerre mondiale, alors qu’il était âgé de 17 ans. De quoi secouer l’intelligentsia allemande et européenne. CI


L'écrivain portugais José Saramago, détenteur comme Günter Grass du prix Nobel de littérature, prend sa défense dimanche dans un entretien au quotidien espagnol El Pais après la révélation de son passé chez les Waffen-SS, qualifiant ses détracteurs d'"hypocrites". (Le Monde)

P. Dos Nobel, Grass y usted, escribiendo memorias.

R. Las suyas son diferentes.

P. ¿Cuál es su reacción a lo que ha sucedido con Grass?

R. Primero he tenido perplejidad. Nunca hubiera pensado que él hubiera estado en las Waffen-SS..., y menos aún que hubiera ido como voluntario. Y me ha sorprendido la violencia de las reacciones. Él tenía 17 años. ¿Y el resto de la vida no cuenta? Me parece una reacción hipócrita la que ha habido, de mucha gente que acaso no consulta su propia conciencia. Mucha gente quiere buscar pies de barro a personalidades influyentes. Me recuerdan al que iba de ciudad en ciudad, siguiendo un circo. Un día le preguntaron: "¿Por qué sigue tanto a este circo?". "Porque quiero ver cuándo se cae el trapecista y se mata". Y me parece indigna, infame, la insinuación de que Grass ahora lo dice por motivos promocionales de su libro. ¿Qué juez puede decir que una confesión viene demasiado tarde? La verdad es que lo ha dicho, ahí está su confesión. El Pays

outro planeta

Dessin de Aislin in The Gazette (Montréal)

la chute des intellectuels

Carlos Martinez Gorriaran et la chute des intellectuels
Carlos Martinez Gorriaran, professeur de philosophie à l'Université du pays Basque (EHU), juge que le statut d'intellectuel est désormais galvaudé. "Le fait qu'il soit si facile de recevoir, ou de donner, le titre 'd'intellectuel' montre qu'il s'agit d'une coquille vide. Comme les titres de noblesse, on ne le gagne plus sur le champ de bataille, mais grâce aux services rendus à un pouvoir reconnaissant.(...) Ce n'est pas l'irresponsabilité collective qui a mis fin au rôle de vigie de l'opinion publique tenu par les intellectuels. C'est l'extraordinaire démocratisation de l'art d'opiner ou de parler de tout, et, surtout, l'extraordinaire complexité des choses, pourtant ignorée par les gens qui prennent au sérieux Zerzan, Negri, Baudrillard ou Fukuyama. Et Internet comporte également une part de responsabilités. (...) Les règles du jeu de l'opinion changent à toute vitesse sans que nous sachions vraiment de quelle manière".
ABC (Espagne)

hezbollah won! israel won!


Dessin de Telnaes

Depuis l’arrêt des hostilités entre Israël et le Hezbollah, les discours des hommes politiques partisans dans le conflit proclament la victoire de leur camp ou de leurs alliés. Tel est le cas de Hassan Nasrallah, le leader du parti islamiste libanais, dont la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies exige le désarmement, mais aussi du président américain George W. Bush, qui a qualifié le Liban de “troisième front” de la guerre antiterroriste, avec ceux d’Irak et d’Afghanistan.
Quant aux réfugiés libanais qui ont fui les combats, ils regagnent leurs domiciles, pour la plupart détruits par les bombardements israéliens.
CI

Noticias da actualidade

A modelo Tatyana Simanava sofreu um pequeno acidente quando viajava num autocarro para fazer uma sessão fotográfica.


O incidente deu-se quando Tatyana foi à casa-de-banho do veículo. Ao entrar deparou-se com duas portas: uma para a rua, outra para o autocarro. A modelo ficou confusa, enganou-se na porta, saiu para a rua e sofreu uma queda com o autocarro a andar a mais de 65 Km/h.
A modelo partiu um braço, deslocou um ombro e sofreu várias escoriações no rosto e na cabeça.

in DD


Um jovem americano entrou para o Livro do Guiness como o mais rápido a escrever uma mensagem de texto (SMS). Ben Cook escreveu 160 caracteres em 42,22 segundos.

Ben Cook, 18 anos, ganhou com a sua rapidez um telefone novo e seis mil minutos livres de chamadas telefónicas e mensagens de texto.

Em 2004, Ben tentou entrar para o Guiness, mas foi ultrapassado por uma jovem, que escreveu a mensagem em 43,24 segundos.

O recorde foi conseguido durante um concurso em Denver, em que a mensagem a escrever dizia: «As piranhas da espécie Serrasalmus e Pigocentrus com os seus afiados dentes são as espécies de água fresca mais ferozes do mundo. Na realidade, raramente atacam seres humanos».

in DD


Dans quel Etat j'erre...

La principauté d’Andorre a accueilli ses premiers sans-papiers, cinq des Erythréens sauvés par le bateau de pêche Francisco y Catalina au large des côtes maltaises. Les hommes ont dû demander une carte aux autorités pour savoir dans quelle partie du monde ils se trouvaient, écrit El País.
in CI

Little Trip to Heaven (On the Wings of your Love)


Little trip to heaven on the wings of your love
Banana moon is shining in the sky
I feel like I'm in heaven when you’re with me
I know that I'm in heaven when you smile
Though we’re stuck here on the ground
I got something that I've found, and it's you



I don't have to take no trip to outer space
All I have to do is look in your face
And before I know it I'm in orbit around you
Thanking my lucky stars that I found you
When I see your constellation, you’re my inspiration
And it's you




You’re my North Star when I'm lost and feeling blue
The sun is breaking through the clouds don't you, don't you know it's true?
Honey, all the other stars seem dim around you
I thank my lucky stars that I’ve found you,


When I see your smiling face, honey,
I know nothing ever going to take your place
And it's you, and it's you, and it's you,
and it's you, and it's you, and it's you






Letra: Tom Waits. Fotos: reciclagem de fotos que tirei em Portugal, França e Tailandia.

Waiting in Vain

"the singer more in love with the wait than in wait for the love"


I don’t wanna wait in vain for your love
From the very first time I rest my eyes on you, girl
My heart says follow trough
But I know, now, that I’m way down on your line
But the waitin feel is fine
So don’t treat me like a puppet on a string
cause I know I have to do my thing
Don’t talk to me as if you think I’m dumb
I wanna know when you’re gonna come
I don’t wanna wait in vain for your love;

...

Its been three years since I’m knockin on your door,
And I still can knock some more
Ooh girl, ooh girl

...

Tears in my eyes burn
Tears in my eyes burn while I’m waiting for my turn

...

It’s your love that I’m waiting on

It’s my love that you’re running from.

Paris nos anos 70

Nota ai para um link do lado direito, paris nos anos 70, um site brutal! a explorar com atenção...

I've been walking through the middle of nowhere

The air is getting hotter
There's a rumbling in the skies
I've been wading through the high muddy water
With the heat rising in my eyes
Every day your memory grows dimmer
It doesn't haunt me like it did before
I've been walking through the middle of nowhere
Trying to get to heaven before they close the door

When I was in Missouri
They would not let me be
I had to leave there in a hurry
I only saw what they let me see
You broke a heart that loved you
Now you can seal up the book and not write anymore
I've been walking that lonesome valley
Trying to get to heaven before they close the door

People on the platforms
Waiting for the trains
I can hear their hearts a-beatin'
Like pendulums swinging on chains
When you think that you lost everything
You find out you can always lose a little more
I'm just going down the road feeling bad
Trying to get to heaven before they close the door



I'm going down the river
Down to New Orleans
They tell me everything is gonna be all right
But I don't know what "all right" even means
I was riding in a buggy with Miss Mary-Jane
Miss Mary-Jane got a house in Baltimore
I been all around the world, boys
Now I'm trying to get to heaven before they close the door

Gonna sleep down in the parlor
And relive my dreams
I'll close my eyes and I wonder
If everything is as hollow as it seems
Some trains don't pull no gamblers
No midnight ramblers, like they did before
I been to Sugar Town, I shook the sugar down
Now I'm trying to get to heaven before they close the door
Bob Dylan

Back to Home Back to Top Nomadismes. Theme ligneous by pure-essence.net. Bloggerized by Chica Blogger.