Dessin de Telnaes
Depuis l’arrêt des hostilités entre Israël et le Hezbollah, les discours des hommes politiques partisans dans le conflit proclament la victoire de leur camp ou de leurs alliés. Tel est le cas de Hassan Nasrallah, le leader du parti islamiste libanais, dont la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies exige le désarmement, mais aussi du président américain George W. Bush, qui a qualifié le Liban de “troisième front” de la guerre antiterroriste, avec ceux d’Irak et d’Afghanistan. Quant aux réfugiés libanais qui ont fui les combats, ils regagnent leurs domiciles, pour la plupart détruits par les bombardements israéliens.
CI
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