Paz e amor

«Je lui ai dit de me regarder et après quelques instants – [..] elle l’a fait, mais les yeux comme des fentes à cause du soleil. Je me suis penché sur elle pour qu’ils soient dans l’ombre et ils se sont ouverts. (Pause) M’ont laissé entrer. […] Je me suis coulé sur elle, mon visage dans ses seins et ma main sur elle. Nous restions là, couchés, sans remuer. Mais, sous nous, tout remuait, et nous remuait, doucement, de haut en bas, et d’un côté à l’autre» Samuel Beckett, La dernière bande

Back to Home Back to Top Nomadismes. Theme ligneous by pure-essence.net. Bloggerized by Chica Blogger.