Tirado daqui.
Je me bar bientôt, enfin, j'ai en marre, j'aime plus Paris, mais c'est ma ville, je me sens bien ici, j'aime plus Paris, ah ouais?
(hoje greve no RER, fez-me faltar às aulas, c'est pas possible, pfffff)
Momento "Divulgação"
Posted in on 15:03 by Tita Xana"Eu (Nuno Camacho) e o Luís Carvalho, ambos investigadores da Faculdade de Economia da Universidade Erasmus de Roterdão, estamos a desenvolver um estudo em que tentamos perceber as percepções dos talentos Portugueses sobre as condições de vida e trabalho em Portugal e/ou no país onde se encontram a residir ou trabalhar.
Desta forma, vimos pedir a vossa colaboração. Quando tiverem 15 minutos disponíveis, seria fantástico se respondessem ao inquérito que preparamos para este estudo. O objectivo do nosso estudo é sugerir estratégias e acções para um melhor aproveitamento do talento e capital humano português (tanto o que temos em Portugal, como o que se encontra espalhado pelo mundo). A vossa ajuda é preciosa para levarmos este estudo a bom porto. Todas as respostas serão tratadas de forma confidencial.
Se trabalha/estuda em Portugal, p.f. utilize o link:
http://www.surveygizmo.com/s/
Se trabalha/estuda fora de Portugal, p.f. utilize o link:
http://www.surveygizmo.com/s/
PS - Qualquer informação adicional ou comentário pode ser obtido através do envio de um e-mail para braingain.pt@gmail.com."
The Bad Plus
Posted in on 12:55 by Tita XanaDia Sem Compras
Posted in on 10:53 by Tita XanaSABADO 29 NOV - Dia Sem Compras !
Mais seres imóveis
Posted in on 16:10 by catarinaet le poids de la respiration :
avoir vécu ici, tant d’immobilité
ici au sombre pied du soleil»
Botho Strauss, Fragments de l'indistinct
Carmen
Posted in on 15:28 by catarinaOn y go!!
Posted in on 21:37 by catarinawiki vs Firmo
Posted in on 22:47 by Tita XanaPara quê ir à Wikipédia quando se pode tirar duvidas sobre o existencialismo em Firmo?
ja passou um ano
Posted in on 22:06 by Tita Xanabye
Posted in on 22:01 by Tita XanaEscondo-me quando não estas a olhar, onde não estas a olhar.
Variações de uma pessoa louca, com aquela loucura do quotidiano.
Cheiras o ar à minha procura,
Mas fui; desapareci numa bruma cor-de-rosa choque, num dia qualquer
E tu vais continuar à espera, como se eu fosse o D. Sebastião.
Rocha e fonte
Posted in on 01:41 by catarina(adaptado de Ovídio)
«Os cabelos embora o vento passe
Já não se agitam leves. O seu sangue,
Gelando, já não tinge a sua face.
Os olhos param sob a fonte aflita.
Já nada nela vive nem se agita,
Os seus pés já não podem formar passos,
Lentamente as entranhas endurecem
E até os gestos gelam nos seus braços.
Mas os olhos de pedra não esquecem.
Subindo do seu corpo arrefecido,
Lágrimas lentas rolam pela face,
Lentas rolam, embora o tempo passe»
Sophia de Mello Breyner Andersen
Pranto
Posted in on 01:24 by catarinaE’l duol che truova in sugli occhi rintoppo,
Si volge in entro a far crescer l’ambascia».
[O pranto, o próprio pranto não consente/ e a dor então nos olhos onde embate/ para dentro regressa em dor crescente]
Dante, Divina Comédia (Inferno 33)
Noutro dia
Posted in on 11:22 by Tita XanaEntender II
Posted in on 15:51 by catarinaSamuel Beckett, Molloy.
Males de um mundo absurdo e esquecido
Posted in on 15:30 by catarinaCrise é ninguém dar conta deste tipo de notícias. Enquanto todos se mantiverem ocupados a seguir as tolices e a papar os grupes da crise económica, a velha crise da ignorância e indiferença permanece. Os umbigos vão aumentando nas suas crises de individualismo e futilidade, enquanto os males do mundo passam ao lado e são esquecidos.
«Thaïlande. La nation a perdu son âme»
«Depuis que le pays a frôlé la catastrophe, le 2 septembre [quand l'état d'urgence a été décrété par le précédent gouvernement], nous sommes sur une pente glissante. Et, compte tenu de l'évolution de la situation, les choses pourraient tourner bien plus mal que lors des crises politiques du 14 octobre 1973, du 6 octobre 1976 ou du mois de mai 1992. Les leçons du passé nous ont peut-être retenus jusqu'au matin du 7 octobre [les affrontements entre les manifestants antigouvernementaux et les forces de l'ordre ont fait alors 2 morts et plus de 400 blessés], mais, maintenant que nous sommes lancés, ces dates ont perdu tout leur sens.
C'est une bien triste évolution que celle de la politique sanglante de notre pays. Nous avons dénoncé les chars d'assaut et la dictature en 1973, une politique d'extrême droite en 1976 et l'armée, à nouveau, en 1992. Quand l'escalade de la violence conduit les Thaïlandais à se tuer entre eux, comme c'est le cas en ce moment, il est beaucoup plus difficile de désigner les coupables. Ce nouveau bain de sang signifie simplement que le royaume n'a pas réussi à devenir un "bon pays". Et les trois carnages précédents ne font qu'amplifier notre honte. La politique a un sens jusqu'à un certain point au-delà duquel l'absurdité prend le dessus. Les "héros" d'octobre combattent désormais dans le camp opposé. Chamlong Srimuang, l'un des leaders de l'opposition, qui, dans le passé, a été amené à nier toute implication dans le complot contre le mouvement étudiant de 1976, est aujourd'hui derrière les barreaux pour avoir combattu la "dictature". L'ancien Premier ministre Samak Sundaravej [contraint à la démission le 9 septembre dernier], un autre "méchant" d'octobre, a réussi à se racheter aux yeux du monde en se présentant comme un dirigeant démocrate persécuté. Et il est possible que quelques années d'agitation aient suffi à gommer le fait que le principal dirigeant de l'opposition soit un jour passé à la télévision pour défendre vigoureusement la politique fiscale du gouvernement Thaksin vis-à-vis du secteur des télécommunications [avant d'entrer en politique, l'ancien Premier ministre, aujourd'hui en exil en Grande-Bretagne, avait bâti son empire dans ce domaine].
La politique est porteuse d'idéologies que nous n'hésitons pas à fouler aux pieds lorsque l'occasion s'en présente. Le 7 octobre, la Thaïlande a perdu beaucoup plus que deux vies et la jambe d'un homme. Le bilan des victimes confirme la disparition des principes qui ont conduit les deux camps sur la voie de l'affrontement. Le respect de l'égalité, de la société civile et de toutes les autres valeurs estimables de la démocratie s'est volatilisé. Avec les "éléphants" qui s'affrontent, le "peuple" n'a pas le loisir de réfléchir. Il ne peut que suivre des ordres qui bénéficient à tout le monde sauf à lui. Le 7 octobre, la police a dû se conformer aux instructions, tandis que les protestataires devaient défiler et s'emparer du Parlement. Que les manifestants aient été provocateurs et les policiers violents ne change rien à l'affaire. Nous sommes en guerre, et c'est donc "nous" qui avons raison et "eux" tort.Qui sont-ils ? Il y a Thaksin, Chamlong, Samak, Chavalit Yongchaiyudh [vice-Premier ministre qui vient de présenter sa démission] et Sondhi Limthongkul [l'un des chefs de l'opposition]. Quand ils étaient dans le même camp, la vie semblait facile. Maintenant qu'ils sont divisés et que beaucoup de gens sont prêts à mourir pour leur cause, le pays est au bord de la guerre civile. Dans les deux camps, on proclame que le peuple se sacrifie pour l'intérêt général de la nation. Les policiers "assurent le maintien de l'ordre public". Et les protestataires "défendent le pays contre les escrocs de la politique".
Dans toute guerre, chacun est contraint de faire le mal, prétendument pour défendre le bien. Avons-nous le droit de dire : "Oui, je veux défendre le bien, mais je ne suis pas prêt pour autant à faire le mal" ? Oui, nous l'avons, mais ce droit n'est que le dernier écho de notre conscience, le chant du cygne des valeurs avant qu'elles ne disparaissent. Thaksin va-t-il tenter un retour en force dans cinq ans ? Chamlong sera-t-il encore là dans dix ans pour conduire une autre insurrection populaire ? Sondhi va-t-il réellement devenir moine une fois cette guerre terminée ? Nul ne peut répondre avec certitude à ces questions, mais la possibilité de les voir revenir sur la scène politique et prendre la tête d'un nouveau mouvement est peut-être plus grande que celle de voir les Thaïlandais recouvrer leur âme perdue.
La blessure ne cicatrisera pas de sitôt. Un jour ou l'autre, l'agitation et le bain de sang cesseront et, dans quelques mois, nous aurons peut-être une nouvelle Constitution, une "réforme" proclamée haut et fort. A vrai dire, nous avons déjà connu cette situation et eu une très bonne chance d'éviter un nouvel "octobre noir" ou un nouveau "mai noir". Nous n'avons tiré aucune leçon du passé, si ce n'est qu'il est facile, en temps de paix, de croire à tort que la guerre est lointaine. Les semblants de leçon s'arrêtent là. Nous n'avons pas besoin d'apprendre davantage. Surtout en ce moment, où tout le monde est persuadé d'avoir raison.»
citado do Courrier International
Enfim uma boa notícia
Posted in on 15:09 by catarina«Pilule: bientôt fini de supplier le pharmacien pour avoir du rab’?»
A ministra da saúde francesa propõe a venda de pílulas sem receita. E para quando a venda e o reembolso de contraceptivos de nova geração: anéis, adesivos e pílulas com baixo índice hormonal, etc. Já estava na hora de acabar com o conservadorismo capitalista que nos faz suplicar por um simples contraceptivo q é vendido sempre a preços abusivos sem reembolso. Mas depois ninguém nos faz perguntas se pedimos a pílula do dia seguinte. Enfim uma boa notícia!!
«La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a affirmé qu'elle n'était pas hostile à permettre aux pharmaciens de renouveler une fois la pilule contraceptive sans ordonnance.
La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a affirmé "n'être pas hostile à donner aux pharmaciens la possibilité de renouveler, pour une fois, la pilule contraceptive", samedi, au 61ème Congrès national des pharmaciens de France à Deauville.
Selon le texte écrit du discours, la ministre a affirmé être "ouverte aux propositions des pharmaciens", dans le cadre du projet de loi Hôpital, patients, santé, territoires, examiné mercredi par le Conseil des ministres.
"Les compétences et les atouts des pharmaciens sont actuellement sous-exploités", "il est regrettable de voir certains pharmaciens jouer un rôle de simple commerçant", a-t-elle reconnu.
"Les pharmaciens doivent faire évoluer leur métier en offrant de nouveaux services, en s'impliquant davantage dans la prévention, le parcours de soins ou encore l'accompagnement thérapeutique", a affirmé la ministre.
Elle a, dans ce cadre, affirmé "n'être pas hostile à donner aux pharmaciens la possibilité de renouveler, pour une fois, la pilule contraceptive".
Le projet de loi santé et territoires "pourrait être l'occasion, lors du débat parlementaire, de valoriser l'idée de premier recours au pharmacien, ainsi que le partage des compétences", a affirmé la ministre.»
artigo citado do libé
Tabucchi
Posted in on 14:08 by Tita Xana"Pendant dix ans et plus, j'ai dénoncé dans la presse l'infection italienne : la corruption, le conflit d'intérêts, l'agression menée par le politique contre la justice, l'arrivée triomphale de la laideur, le bas—culement de la démocratie. Mais je ne voudrais pas, à mon âge, devenir un médecin spécialiste : à force de s'occuper d'une " Botte ", on risque d'oublier le corps auquel la jambe appartient. Le monde est vaste, et devant les grands problèmes du monde, devant la grande laideur et la grande beauté du monde, ceux de l'Italie sont des petits problèmes, de la petite —laideur et de la petite beauté."*
Antonio Tabucchi (citation dans un article du Le Monde)
*je pourrais également ajouter : "ceux du Portugal sont des petits problèmes..."
uma grande verdade
Posted in on 20:14 by Tita Xana"mil vezes arrancar sisos do q ter migranas"
vinda de uma troca de e-mails emigra ;)
DMB Crush
Posted in on 15:53 by Tita Xanaé incrível como se reciclam musicas e caracteres.
que xaxada digo eu!
Posted in on 17:02 by Tita Xana"O presidente do Governo Regional da Madeira classificou de "chachadas" as notícias que dão conta de que dirigentes desportivos dos clubes madeirenses são arguidos em processos relacionados com fuga ao fisco e branqueamento de capitais. (...)"
JN
pedaços de Estátua
Posted in on 14:09 by Tita XanaCansei-me de tentar o teu segredo:
No teu olhar sem cor, - frio escalpelo,
O meu olhar quebrei, a debatê-lo,
Como a onda na crista dum rochedo.
(...)
Camilo Pessanha
errrr Jason again
Posted in on 01:39 by Tita Xana
tenho de postar mais un encore do Jason... mas ele merece!
rentrée
Posted in on 01:05 by Tita XanaThis year it's all about:
- Falling in love [again!]
- See the Louvre [again!]
The same things, same eyes, through different perspectives. Re-evaluate the world to my own measure.
- Concerts, friendships, travels and some inevitable bad coffee
- More energy, more sport, same ambitions
To fulfill old hopes, travel to new roads, find other ways, think other schemes
Das amêndoas
Posted in on 23:18 by Tita XanaAs palavras têm outra casca
lá mais para dentro
como as amêndoas
e a paciência.
Giánnis Ritsos
ainda os bichos e a viragem dos trinta
Posted in on 12:13 by catarinaMais reviravoltas
Posted in on 11:54 by catarinaMais bichos e destinos
Posted in on 02:42 by catarinao que é que eu ando a fazer
Posted in on 13:39 by Tita XanaAndo um bocado afastada deste blog (não é que tenha outro) e isso deve-se a provável falta de tempo e possível falta de paciência. E como estou em Portugal hoje até vou escrever com acentos. E demonstrar com imagens o que tenho andado a fazer:
Algures no Alentejo...
A fugir de um touro...
A saltar cercas de arame farpado (não estava a fugir da prisão, estas calças e camisa fazem parte da chamada "roupa de prospecção")
À procura disto...
Também há outras diversões como observação nocturna de cromeleques, por o Poupas a poupar (ele gosta!), fugir de fretes (já não temos idade pra isso) ou o vinho branco de G........ hmmm fresquinho! Quando voltar à vida citadina tentarei postar mais frequentemente. Até lá, até já.
So far, so good
Posted in on 10:38 by catarinaAssaltos
Posted in on 22:47 by catarinaAlmada Negreiros, Nome de Guerra
Sair daqui...
Posted in on 17:34 by catarinaA Lisbonne, le fleuve a les bras de l’océan.
Ontem quando dobrava a esquina do Benformoso com a Calçada Agostinho Carvalho, continuei com o passo veloz motivado pela descida e pelos ouvidos que davam conta do fado vadio entre a Rua da Mouraria e a Rua do Capelão. E quando mergulhei na Baixa, vinda do Rossio senti os pés a descalçar a calçada e os olhos vindos das vielas a desvendar as ruas e avenidas. Mal sabia eu que às 5 da manhã ia levar uma amiga de olhos vendados ao aeroporto para lhe desvendar uma viagem surpresa. Voltei para a cidade e enquanto sorvia o cacau da ribeira, pensava nos labirintos e ironias da vida e no acaso de ser eu a ficar desta vez.
Mulheres
Posted in on 11:39 by catarinaA França é um belo detergente e mais ainda é aquela que se diz laica. A lei do véu em França não visa defender as mulheres, muito menos as muçulmanas. Surge como mais uma tentativa de uniformizar (à francesa, claro está!), de abafar a diferença. A lei que obriga a tirar o véu não é melhor do que a lei que o impõe. É uma lei hipócrita! Porque o laicismo à francesa continua a reger-se por linhas católicas deploráveis. Numa das escolas onde dei aulas, burocratas invadiam as minhas aulas em pleno Ramadão, à caça dos alunos rebeus que faltavam nesses dias. Só se podia entrar no liceu de cabeça descoberta, isto é, nada de véu, nem boné, nem chapéu, nem mesmo um gorro em dias de 10 graus negativos. Um dia, um puto recusou-se a tirar o boné durante o intervalo e a presidente do conselho directivo acabou a rebolar no chão à pancada com o miúdo. Este laicismo mascarado é patético e gera conflitos ridículos. É uma falsa liberdade e uma forma de legitimar um racismo imundo.
Vozes que se reivindicam feministas colocam no mesmo saco o uso do véu e rituais horrendos de castração feminina. Só posso entender esse tipo de comparações como obscenidade e ingenuidade. Mas ainda há quem acredite que é uma conquista feminina a lei do véu, há quem se esqueça à ocidental, das mulheres que o catolicismo ainda cobre de luto, dos pés à cabeça e das outras de umbigo encostado ao fogão e voz mansa e de todas as que são esbofeteadas e violadas pelos maridos com o aval dos deuses islâmicos, católicos e olímpicos. Mirem sim o exemplo daquelas mulheres de Atenas.
«Sexta-feira à noite
os homens acariciam o clitóris das esposas
com dedos molhados de saliva.
O mesmo gesto com que todos os dias
contam dinheiro papéis documentos
e folheiam nas revistas
a vida dos seus ídolos.
Sexta-feira à noite
os homens penetram suas esposas
com tédio e pênis.
O mesmo tédio com que todos os dias
enfiam o carro na garagem
o dedo no nariz
e metem a mão no bolso
para coçar o saco.
Sexta-feira à noite
os homens ressonam de borco
enquanto as mulheres no escuro
encaram seu destino
e sonham com o príncipe encantado».
Marina Colasanti, Sexta-feira à noite
Argélia
Nazaré
Barqueiros e rios
Posted in on 15:22 by catarinaMiguel Castro Caldas, As sete ilhas de Lisboa
Quadras populares
Posted in on 14:42 by catarinafilha desta confusão,
vai todo o mundo à procura
daquilo que tem à mão.
Queremos ver sempre à distância
o que não está descoberto,
Sem ligarmos importância
ao que está à vista e perto.
À guerra não ligues meia,
porque alguns grandes da terra,
vendo a guerra em terra alheia,
não querem que acabe a guerra
Que importa perder a vida
em luta contra a traição,
se a Razão mesmo vencida,
não deixa de ser Razão?
Vinho que vai para vinagre
não retrocede o caminho;
só por obra de milagre,
pode de novo ser vinho.
Quem prende a água que corre
É por si próprio enganado;
O ribeirinho não morre,
Vai correr por outro lado».
Euro 2008
Posted in on 01:26 by Tita Xanaça-y-est !
Posted in on 12:09 by Tita Xana1st draft sent!!!!
"in the bottom line, what does it mean to be a Portuguese?"*
*e não me estou a referir ao patriotic feeling do Euro2008...
Ecological search: alternative to Google
Posted in on 18:32 by Tita XanaHow it works?
Lóri e Ulisses
Posted in on 21:35 by catarinaClarice Lispector, Uma Aprendizagem
Entender
Posted in on 21:31 by catarina«Não entendo. Isso é tão vasto que ultrapassa qualquer entender. Entender é sempre limitado. Mas não entender pode não ter fronteiras. […] É uma bênção estranha, como ter loucura sem ser doida. É um desinteresse manso, é uma doçura de burrice. Só que de vez em quando vem a inquietação: quero entender um pouco. Não demais: mas pelo menos entender que não entendo.[…] Mas tenho medo do que é novo e tenho medo de viver o que não entendo - quero sempre ter a garantia de pelo menos estar pensando que entendo, não sei me entregar à desorientação.»
Clarice Lispector
Da rivalidade*
Posted in on 20:11 by Tita XanaOs Holandeses a rezar e a ver passar navios (Portugueses)...
“Meanwhile we prayed (according to custom), asking the Lord for a blessed outcome and happy victory. The Portuguese, noting that they would be engaged again, hastily cut their anchor-rope, raised their topmasts and yard-arms, and (while we were busy raising our anchor) took course (with one of the other yachts) straight upriver until they ran aground. We followed them (…) [but] since our ship went too deep, it was not possible to come near her”[1]
[1] Cf. A Traveler in
[* Podia ser Da Historia mas não, é Da Rivalidade]
Do castelo ao Tejo
Posted in on 17:49 by catarinaNow or Never
Posted in on 10:12 by Tita Xana
Por sugestão do Bordado Inglês
Lisa Ekdahl & Peter Nordahl Trio
"Now or Never"
...It's got to be yes or no
It's either you stay or go
You can't leave me on the shelf
You gotta commit yourself
It's either you will, or you won't fall In love with me...
quanto ao meu ritmo de trabalho:
Posted in on 11:28 by Tita Xanaformula
Posted in on 14:04 by Tita Xanafico calada a pensar na teoria do caos
e no bater das asas da borboleta
e que a vida tem significado lógico e não arbitrário
Notas, frases, palavras, números
misturam e criam a verdade da vida
Câmara lenta da acção desnecessária
Morres na estrada
- e eu fico a rir enquanto pedalo e me equilibro na bicicleta -
As coincidências puras acontecem.
was I?
Posted in on 23:18 by Tita Xana
...Well I said, stop, please, behave!
Well what's the use of breathin'?
He said, give
So I gave
After all, what was I savin'?
Am I glad?
Holy gee,
Have I had fun, you're askin' me?
Was I drunk?
Was he handsome?
And did momma give me hell?
rewind
Posted in on 23:00 by Tita Xanana floresta
Olhando a lua e os pirilampos cheios de luz
nas árvores
Molhamos os pés
- a água está fria no rio -
Perguntas-me quem sou
E vejo qualquer coisa no espelho
Largaste-me a mão
E fui com a água
again and again
The Love Song of J. Alfred Prufrock
Posted in on 22:56 by Tita XanaS’io credesse che mia risposta fosse A persona che mai tornasse al mondo, | |||
Questa fiamma staria senza piu scosse. | |||
Ma perciocche giammai di questo fondo | |||
Non torno vivo alcun, s’i’odo il vero, | |||
Senza tema d’infamia ti rispondo. | |||
LET us go then, you and I, | |
When the evening is spread out against the sky | |
Like a patient etherised upon a table; | |
Let us go, through certain half-deserted streets, | |
The muttering retreats | 5 |
Of restless nights in one-night cheap hotels | |
And sawdust restaurants with oyster-shells: | |
Streets that follow like a tedious argument | |
Of insidious intent | |
To lead you to an overwhelming question … | 10 |
Oh, do not ask, “What is it?” | |
Let us go and make our visit. | |
In the room the women come and go | |
Talking of Michelangelo. | |
The yellow fog that rubs its back upon the window-panes, | 15 |
The yellow smoke that rubs its muzzle on the window-panes | |
Licked its tongue into the corners of the evening, | |
Lingered upon the pools that stand in drains, | |
Let fall upon its back the soot that falls from chimneys, | |
Slipped by the terrace, made a sudden leap, | 20 |
And seeing that it was a soft October night, | |
Curled once about the house, and fell asleep. | |
And indeed there will be time | |
For the yellow smoke that slides along the street, | |
Rubbing its back upon the window-panes; | 25 |
There will be time, there will be time | |
To prepare a face to meet the faces that you meet; | |
There will be time to murder and create, | |
And time for all the works and days of hands | |
That lift and drop a question on your plate; | 30 |
Time for you and time for me, | |
And time yet for a hundred indecisions, | |
And for a hundred visions and revisions, | |
Before the taking of a toast and tea. | |
In the room the women come and go | 35 |
Talking of Michelangelo. | |
And indeed there will be time | |
To wonder, “Do I dare?” and, “Do I dare?” | |
Time to turn back and descend the stair, | |
With a bald spot in the middle of my hair— | 40 |
[They will say: “How his hair is growing thin!”] | |
My morning coat, my collar mounting firmly to the chin, | |
My necktie rich and modest, but asserted by a simple pin— | |
[They will say: “But how his arms and legs are thin!”] | |
Do I dare | 45 |
Disturb the universe? | |
In a minute there is time | |
For decisions and revisions which a minute will reverse. | |
For I have known them all already, known them all:— | |
Have known the evenings, mornings, afternoons, | 50 |
I have measured out my life with coffee spoons; | |
I know the voices dying with a dying fall | |
Beneath the music from a farther room. | |
So how should I presume? | |
And I have known the eyes already, known them all— | 55 |
The eyes that fix you in a formulated phrase, | |
And when I am formulated, sprawling on a pin, | |
When I am pinned and wriggling on the wall, | |
Then how should I begin | |
To spit out all the butt-ends of my days and ways? | 60 |
And how should I presume? | |
And I have known the arms already, known them all— | |
Arms that are braceleted and white and bare | |
[But in the lamplight, downed with light brown hair!] | |
It is perfume from a dress | 65 |
That makes me so digress? | |
Arms that lie along a table, or wrap about a shawl. | |
And should I then presume? | |
And how should I begin? . . . . . | |
Shall I say, I have gone at dusk through narrow streets | 70 |
And watched the smoke that rises from the pipes | |
Of lonely men in shirt-sleeves, leaning out of windows?… | |
I should have been a pair of ragged claws | |
Scuttling across the floors of silent seas. . . . . . | |
And the afternoon, the evening, sleeps so peacefully! | 75 |
Smoothed by long fingers, | |
Asleep … tired … or it malingers, | |
Stretched on the floor, here beside you and me. | |
Should I, after tea and cakes and ices, | |
Have the strength to force the moment to its crisis? | 80 |
But though I have wept and fasted, wept and prayed, | |
Though I have seen my head [grown slightly bald] brought in upon a platter, | |
I am no prophet—and here’s no great matter; | |
I have seen the moment of my greatness flicker, | |
And I have seen the eternal Footman hold my coat, and snicker, | 85 |
And in short, I was afraid. | |
And would it have been worth it, after all, | |
After the cups, the marmalade, the tea, | |
Among the porcelain, among some talk of you and me, | |
Would it have been worth while, | 90 |
To have bitten off the matter with a smile, | |
To have squeezed the universe into a ball | |
To roll it toward some overwhelming question, | |
To say: “I am Lazarus, come from the dead, | |
Come back to tell you all, I shall tell you all”— | 95 |
If one, settling a pillow by her head, | |
Should say: “That is not what I meant at all. | |
That is not it, at all.” | |
And would it have been worth it, after all, | |
Would it have been worth while, | 100 |
After the sunsets and the dooryards and the sprinkled streets, | |
After the novels, after the teacups, after the skirts that trail along the floor— | |
And this, and so much more?— | |
It is impossible to say just what I mean! | |
But as if a magic lantern threw the nerves in patterns on a screen: | 105 |
Would it have been worth while | |
If one, settling a pillow or throwing off a shawl, | |
And turning toward the window, should say: | |
“That is not it at all, | |
That is not what I meant, at all.” . . . . . | 110 |
No! I am not Prince Hamlet, nor was meant to be; | |
Am an attendant lord, one that will do | |
To swell a progress, start a scene or two, | |
Advise the prince; no doubt, an easy tool, | |
Deferential, glad to be of use, | 115 |
Politic, cautious, and meticulous; | |
Full of high sentence, but a bit obtuse; | |
At times, indeed, almost ridiculous— | |
Almost, at times, the Fool. | |
I grow old … I grow old … | 120 |
I shall wear the bottoms of my trousers rolled. | |
Shall I part my hair behind? Do I dare to eat a peach? | |
I shall wear white flannel trousers, and walk upon the beach. | |
I have heard the mermaids singing, each to each. | |
I do not think that they will sing to me. | 125 |
I have seen them riding seaward on the waves | |
Combing the white hair of the waves blown back | |
When the wind blows the water white and black. | |
We have lingered in the chambers of the sea | |
By sea-girls wreathed with seaweed red and brown | 130 |
Till human voices wake us, and we drown. |
T. S. Elliot